Madagascar s'exprime sur les APE
Les premiers résultats de l’étude des « évaluations de l’impact sur le développement durable » (EIDD) confiée à « Pricewaterhouse Coopers », présent à Madagascar à travers le cabinet d’audit Cabram, ont été présentés hier, à l’hôtel Hilton. L’étude a permis de dégager douze recommandations dans trois domaines à savoir, l’intégration régionale, les politiques commerciales et celles relatives à la promotion d’un développement durable.
La mise en place d’un mécanisme institutionnel est particulièrement recommandée. De même qu’un mécanisme de dialogue coopératif pour la participation publique. Dans cette perspective le renforcement des capacités est indispensable pour permettre de proposer des recommandations aux principaux décideurs dans l’UE et les régions ACP.
De plus, il pourrait compiler et diffuser l’information, et entreprendre des évaluations sur le commerce et le développement durable, coordonner l’assistance technique, consulter et coopérer avec les autorités et institutions environnementales locales, nationales et régionales et d’assurer une interaction et une consultation régulière avec les acteurs de la société civile.
Le problème des visas
Par ailleurs, il a été aussi recommandé de réussir l’intégration régionale avant d’attaquer le marché européen, car elle conduit les pays en développement et moins avancés à se conformer aux normes. Si l’on prend le cas de la Réunion par exemple, qui appartient à une même zone économique que Madagascar, elle est très exigeante en matière de normes. Des normes que les producteurs et les exportateurs n’arrivent pas souvent à honorer.
Le problème de visa constitue un autre blocage pour le développement des échanges entre les partenaires.
Source : 12 mai 2007, Madagascar Tirbune
La mise en place d’un mécanisme institutionnel est particulièrement recommandée. De même qu’un mécanisme de dialogue coopératif pour la participation publique. Dans cette perspective le renforcement des capacités est indispensable pour permettre de proposer des recommandations aux principaux décideurs dans l’UE et les régions ACP.
De plus, il pourrait compiler et diffuser l’information, et entreprendre des évaluations sur le commerce et le développement durable, coordonner l’assistance technique, consulter et coopérer avec les autorités et institutions environnementales locales, nationales et régionales et d’assurer une interaction et une consultation régulière avec les acteurs de la société civile.
Le problème des visas
Par ailleurs, il a été aussi recommandé de réussir l’intégration régionale avant d’attaquer le marché européen, car elle conduit les pays en développement et moins avancés à se conformer aux normes. Si l’on prend le cas de la Réunion par exemple, qui appartient à une même zone économique que Madagascar, elle est très exigeante en matière de normes. Des normes que les producteurs et les exportateurs n’arrivent pas souvent à honorer.
Le problème de visa constitue un autre blocage pour le développement des échanges entre les partenaires.
Source : 12 mai 2007, Madagascar Tirbune