General Electric dirige la création d'une joint-venture avec Mara Group et Atlas Merchant Capital pour investir dans l'infrastructure africaine
LUSAKA, Zambie, 26 mai 2016/ -- General Electric (www.GE.com)
s'associe à Mara Group et Atlas Merchant Capital pour mener une
initiative visant à créer une joint-venture destinée à investir dans le
secteur extrêmement sous-développé de l'infrastructure africaine. La
joint-venture cherchera à investir en fonds propres dans des projets
d'infrastructures dans des pays sélectionnés à travers toute l'Afrique.
Avec une population africaine estimée atteindre 1,5 milliard d'habitants d'ici 2025(1), le potentiel de croissance économique du continent est significatif. D'après le rapport « Afrique 2030 », le sentiment général est celui du progrès et de l'optimisme et de la durabilité des changements, ce qui fera de l'Afrique un pôle socio-économique attractif dans les années à venir. L'Afrique présente des perspectives de croissance importantes dans la production d'électricité, le transport, le pétrole et le gaz et d'autres domaines d'infrastructures dont le secteur minier. La joint-venture se concentrera sur ce vaste ensemble de segments en facilitant l'accès au capital, offrant ainsi la possibilité de mettre en œuvre aussi bien les projets avancés que ceux qui sont encore au stade de développement.
Les obstacles à surmonter résident dans l'urbanisation rapide et la classe moyenne de plus en plus importante dépourvue d'infrastructure. Plus de 50 % de nos nations africaines, dont le Nigeria, le Kenya, l'Éthiopie, la Tanzanie et la RDC, n'ont pas accès à l'électricité(2) et 360 milliards de dollars américains d'investissements en infrastructure dans la production énergétique, la transmission de courant, les réserves d'eau, des chemins de fer modernes, la capacité portuaire et un réseau routier moderne seront requis avant 2040(3). De plus, l'Afrique devra dépenser 90 milliards de dollars américains par an au cours de la prochaine décennie juste pour moderniser et entretenir l’infrastructure existante(4).
Jay Ireland, président et PDG de GE Afrique, commente : « Cette joint-venture unifie trois entreprises ayant un fort engagement et de l'expertise dans les infrastructures en Afrique. La joint-venture est notre réponse à une approche intégrée de l'infrastructure en Afrique. Nous sommes fiers de notre partenariat avec l'expertise et le talent d'Atlas Merchant Capital et de Mara Group, qui ont une implantation considérable en Afrique, pour répondre aux besoins du continent africain. À ce jour, nous sommes impliqués de manière significative dans des entreprises sociales et chercherons à renforcer et à promouvoir davantage le développement social et communautaire dans la région pour compléter leur expertise, leur savoir et leur esprit entrepreneurial. »
Ashish J Thakkar, fondateur de Mara Group, ajoute : « L'Afrique est un continent composé de 54 pays mais il y a une très faible connectivité entre eux. Le commerce intra-africain, un facteur clé pour la croissance économique, ne représente qu'une fraction du commerce total en Afrique pour la décennie précédente et cela est largement dû à un déficit croissant dans le développement d'infrastructures. Grâce à notre joint-venture avec GE et Atlas Merchant Capital, nous espérons lutter contre le déficit de financement en créant une plateforme qui a le pouvoir de vraiment changer la vie de ceux qui vivent sur le continent. »
Akinwumi Ayodeji Adesina, président de la Banque africaine de développement, a déclaré : « Nous sommes ravis de voir ce partenariat entre trois acteurs d'envergure mondiale qui, ensemble, peuvent avoir un véritable impact sur le développement des infrastructures en Afrique.
Nous savons tous bien tristement combien il est impératif de combler le déficit annuel de 50 milliards de dollars du financement des infrastructures de l'Afrique. Des partenariats comme ceux-ci sont un élément crucial du programme de développement au moment où nous cherchons à promouvoir le développement économique et social et à lutter contre la pauvreté en Afrique. »
La joint-venture est bien placée pour agir comme une partie prenante de référence aux côtés des sponsors de projets d'infrastructure et elle mettra à profit ses relations avec les banques prêteuses et sa connectivité pour alimenter l’Afrique et les institutions connexes afin de respecter l'élément de dette de son financement.
Avec une population africaine estimée atteindre 1,5 milliard d'habitants d'ici 2025(1), le potentiel de croissance économique du continent est significatif. D'après le rapport « Afrique 2030 », le sentiment général est celui du progrès et de l'optimisme et de la durabilité des changements, ce qui fera de l'Afrique un pôle socio-économique attractif dans les années à venir. L'Afrique présente des perspectives de croissance importantes dans la production d'électricité, le transport, le pétrole et le gaz et d'autres domaines d'infrastructures dont le secteur minier. La joint-venture se concentrera sur ce vaste ensemble de segments en facilitant l'accès au capital, offrant ainsi la possibilité de mettre en œuvre aussi bien les projets avancés que ceux qui sont encore au stade de développement.
Les obstacles à surmonter résident dans l'urbanisation rapide et la classe moyenne de plus en plus importante dépourvue d'infrastructure. Plus de 50 % de nos nations africaines, dont le Nigeria, le Kenya, l'Éthiopie, la Tanzanie et la RDC, n'ont pas accès à l'électricité(2) et 360 milliards de dollars américains d'investissements en infrastructure dans la production énergétique, la transmission de courant, les réserves d'eau, des chemins de fer modernes, la capacité portuaire et un réseau routier moderne seront requis avant 2040(3). De plus, l'Afrique devra dépenser 90 milliards de dollars américains par an au cours de la prochaine décennie juste pour moderniser et entretenir l’infrastructure existante(4).
Jay Ireland, président et PDG de GE Afrique, commente : « Cette joint-venture unifie trois entreprises ayant un fort engagement et de l'expertise dans les infrastructures en Afrique. La joint-venture est notre réponse à une approche intégrée de l'infrastructure en Afrique. Nous sommes fiers de notre partenariat avec l'expertise et le talent d'Atlas Merchant Capital et de Mara Group, qui ont une implantation considérable en Afrique, pour répondre aux besoins du continent africain. À ce jour, nous sommes impliqués de manière significative dans des entreprises sociales et chercherons à renforcer et à promouvoir davantage le développement social et communautaire dans la région pour compléter leur expertise, leur savoir et leur esprit entrepreneurial. »
Ashish J Thakkar, fondateur de Mara Group, ajoute : « L'Afrique est un continent composé de 54 pays mais il y a une très faible connectivité entre eux. Le commerce intra-africain, un facteur clé pour la croissance économique, ne représente qu'une fraction du commerce total en Afrique pour la décennie précédente et cela est largement dû à un déficit croissant dans le développement d'infrastructures. Grâce à notre joint-venture avec GE et Atlas Merchant Capital, nous espérons lutter contre le déficit de financement en créant une plateforme qui a le pouvoir de vraiment changer la vie de ceux qui vivent sur le continent. »
Akinwumi Ayodeji Adesina, président de la Banque africaine de développement, a déclaré : « Nous sommes ravis de voir ce partenariat entre trois acteurs d'envergure mondiale qui, ensemble, peuvent avoir un véritable impact sur le développement des infrastructures en Afrique.
Nous savons tous bien tristement combien il est impératif de combler le déficit annuel de 50 milliards de dollars du financement des infrastructures de l'Afrique. Des partenariats comme ceux-ci sont un élément crucial du programme de développement au moment où nous cherchons à promouvoir le développement économique et social et à lutter contre la pauvreté en Afrique. »
La joint-venture est bien placée pour agir comme une partie prenante de référence aux côtés des sponsors de projets d'infrastructure et elle mettra à profit ses relations avec les banques prêteuses et sa connectivité pour alimenter l’Afrique et les institutions connexes afin de respecter l'élément de dette de son financement.